La gonorrhée représente une gêne indéniable et récidive maintes fois si la personne ne prend pas les devants. Malgré tout, on a la possibilité de la prévenir en usant de préservatif ou accessoires en tous genres vendus dans le commerce. La gonorrhée définit une infection causée par une bactérie dénommée « Neisseria gonrrhoeae » ou « gonocoque » pouvant se présenter plus d'une fois sur un patient. Ce dernier reste une maladie sexuellement transmissible et touche des milliers de personnes dans le monde. Comment se manifeste-t-elle ?
Description de la maladie
Appelée également « blennorragie », la gonorrhée se transmet lors d'un rapport sexuel non protégé avec un partenaire atteint par un simple contact par la bouche, vagin et anal ou partage de jouets sexuels. Étant une maladie bénigne et fortement contagieuse, l'individu infecté devra effectuer de suite des analyses dès l'arrivée et la confirmation des résultats. Dans ce sens, les examens bactériologiques signalent la présence active du germe responsable via des prélèvements anaux et pharyngés. La gonorrhée doit être traitée d'une manière efficace et concrète afin d'empêcher les complications graves comme l'inflammation de l'urètre ou la fameuse chlamydia, une infection qui cible essentiellement les adolescents et jeunes adultes environ 20 à 40 % des cas. La démarche exige de ce fait un suivi régulier vu l'existence d'autres lésions installées dans les appareils génitaux provoquant l'infertilité chez l'homme et une grossesse extra-utérine et tubaire aux femmes. L'usage d'un préservatif s'avère toujours pratique, mais cela ne donne nullement 100 % d'efficacité parce que la plupart éclatent pendant les relations.
Les signes visibles
La détection de la gonorrhée demeure parfois difficile puisqu'on peut très bien être infectée sans le savoir. Généralement, les médecins constatent cela du côté de l'agente féminine qui affiche zéro symptôme contrairement aux hommes. Dans ce cas, les conséquences apparaissent 2 à 7 jours après la transmission du micro-organisme. La liste commence par des :
- pertes vaginales et saignements suivant les relations sexuelles ou entre les règles menstruelles.
- écoulements anormaux situés au niveau du pénis, de l'anus et à l'extrémité de la verge exposant une couleur blanche ou jaunâtre.
- picotements urinaire et inflammation de l'urètre, du col de l'utérus ou rectum en causant une endométrite, salpingite ou pelvipéritonie.
- démangeaisons ou sensations de brûlure au moment d'uriner
- douleurs aux testicules
- maux de gorge accompagnée de pus et constipation.
Quant aux nouveau-nés, le risque de contagion par la mère est élevé au moment de l'accouchement. Malheureusement, l'infection cible les yeux (conjonctivite) incitant un déversement et des rougeurs dans cette zone. Sur le plan d'une altération généralisée, cela amène à la septicémie ou des troubles dans le sang.
Le traitement
Le patient doit consulter immédiatement un professionnel de la santé en cas de signaux similaires ou incertitude concernant l'origine des effets désagréables. D'après les recherches menées durant ces dernières années, la gonorrhée se traite avec des médicaments sur une durée déterminée. Néanmoins, il n'existe aucun vaccin pouvant éradiquer complètement la maladie et donc, les sujets infectés devront respecter l'ensemble des instructions dans le but d'échapper aux obstacles. À noter que les produits médicamenteux sont totalement gratuits. Il suffit d'obtenir une ordonnance du médecin traitant et s'en procurer dans une pharmacie sur présentation de la carte d'assurance.
Précautions de traitement
En guise de prévention, les précautions à prendre débutent par l'abstinence jusqu'à la fin du traitement ou 7 jours après si cela concerne une dose unique, soit attendre à ce que les manifestations aient disparu. Utiliser un condom non lubrifié ou un carré de latex couvrant la vulve protège aussi les concernés. La première décision serait d'aviser les partenaires de façon à réaliser un test de dépistage rapide aidant à recevoir les soins appropriés en évitant de transmettre la maladie à d'autres et souffrir de complications telles que les douleurs chroniques en bas du ventre, grossesse ectopique ou encore impuissance. D'une part, la gonorrhée non soignée augmente le risque d'attraper le VIH et rend aveugles les nourrissons.
Consultation
En consultation, les fonctions du spécialiste consistent à évaluer la nécessité de passer par des analyses approfondies en prenant à l'aide d'une coton tige un échantillon d'urine ou des sécrétions prélevées sur le vagin, l'urètre, le col de l'utérus ou dans la gorge. À savoir que le microbe vient à bout de certains médicaments prescrits d'où une solution radicale permettant d'empêcher la propagation de l'infection dans l'organisme. Parmi les médicaments tenaces, on découvre la ceftriaxone, la spectinomycine et ciprofloxacine. En favorisant la guérison, effectuez une visite de contrôle constante en profitant de conseils personnalisés.