Définition, causes et symptômes de la syphilis

La syphilis entre dans la catégorie des infections transmissibles sexuellement ou IST sur un simple contact avec un partenaire infectée. La maladie a été surtout signalée chez les hommes ayant des rapports avec d'autres hommes dont les conséquences progressent rapidement selon le niveau de gravité. La syphilis est de plus en plus fréquente chez les jeunes adultes. C'est une maladie facile à attraper qu'il faut faire attention à toutes les personnes atteintes.

Le terme résulte d'une bactérie appelée « Treponema pallidum ou tréponèmes » provocant des lésions, plaies ou encore ulcères sur les zones génitales, ou à l'intérieur de la bouche. Le mode de transmission se diffère suivant les cas en citant notamment les échanges de salive lors d'un baiser, des relations sexuelles anaux, bucco-génitaux ou vaginaux. De partage de jouets sexuels, aiguilles ou outils spécifiques servant à la consommation de stupéfiants et enfin, de la mère au nourrisson pendant la période de grossesse ou au moment de l'accouchement. L'infection touche bon nombre de personnes sexuellement actives et essentiellement ceux vivant avec le VIH.

Les symptômes visibles

D'emblée, la personne qui contracte la syphilis ne présente aucun signe apparent, mais aura la capacité de transmettre la maladie. La plupart ressentent des effets indésirables à fréquence variable selon l'évolution de l'infection dans l'organisme. En cas de négligence, elle entraîne des complications graves d'où une hospitalisation d'urgence. À un stade précoce, la syphilis produit généralement deux à trois semaines une lésion à l'extrémité ou dans le pénis, vagin, bouche ou du rectum.

Beaucoup plus graves pour les séropositifs

Du côté des individus séropositifs, les plaies peuvent augmenter d'une manière croissante. Les premières manifestations passent souvent inaperçues à cause de l'absence d'odeur et douleur. Dans les prochains jours, on découvre un gonflement au niveau des ganglions lymphatiques de l'aine qui persiste parfois plusieurs mois. La phase primaire montre des signes minimes ou encore non-existants d'où une obligation d'effectuer un dépistage assez régulier afin de déceler la présence de la bactérie et l'empêcher d'atteindre le système nerveux.

La seconde étape survient souvent de deux ou à 12 semaines après l'apparition des plaies et indices ce qui manifeste une infection généralisée. Cela varie d'un patient à l'autre dont les plus courants se composent d'éruptions cutanées à n'importe quelle partie du corps (Paume des mains, plantes des pieds, …), fièvre, baisse du tonus, douleur à la gorge et perte d'appétit. L'éruption syphilitique provoque la perte des cheveux, poils en amincissant les sourcils, la barbe ou encore la chevelure. Les tréponèmes envahissent les tissus humides des organes génitaux, de la bouche, gorge et des amygdales en incitant l'apparition de plaques muqueuses. Dans 40 % de cas, la maladie touche le cerveau et la moelle épinière entraînant quelques dégâts sévères. Parmi les effets inconfortables, le patient subit des bourdonnements d'oreilles, diminution de l'audition ou visuel et migraines.

On arrive au stade tertiaire ou tardif en raison de non-traitement sur une longue durée. Dans cette situation, la maladie commence à progresser et contracte l'ensemble des organes du corps et cause des dommages irréversibles en commençant par le système nerveux, le coeur, les vaisseaux sanguins, le foie traduisant à des atteintes hépatiques. Les reins, les yeux et ainsi de suite. Les complications débutent par des troubles de la vision, mémoire ou érectiles, perte de lucidité, insomnie, crises d'épilepsie et méningite. Chez la femme enceinte, la syphilis congénitale entraîne un avortement spontané en étant l'origine de la mort du foetus ou dans la majorité des situations, les bébés infectés souffrent de troubles du développement et autres problèmes graves.

Le déroulement du dépistage

Établir un diagnostic de la syphilis requiert des analyses sanguines aidant à repérer les anomalies. On distingue le test VDRL (laboratoire de recherches sur les maladies vénériennes) et RPR concernant le réagine plasmatique. L'initiative affiche rarement une certitude à 100 % d'où une nécessité de procéder à d'autres essais en favorisant par exemple l'examen au microscope d'un échantillon de tissu prélevé sur le chancre infectieux. Une fois l'infection confirmée par une clinique ou le médecin, le patient sera tenu d'aviser ses partenaires sexuels en signalant par la même occasion, la santé publique.

Le traitement de la syphilis

Lors du stade primaire et secondaire, le professionnel de santé favorise l'injection unique d'antibiotiques tels que le benzathine ou pénicilline G, la référence en termes d'antidote antisyphilitique et la doxycycline destinée à ceux exposant une allergie à la pénicilline. Le spécialiste prescrit les médicaments selon les antécédents médicaux du patient et le degré de gravité de la maladie.

Comme l'ensemble des IST, la prévention de la syphilis repose sur l'usage du préservatif lors des rapports sexuels et un dépistage fréquent en cas de partenaires multiples. La méthode diminue les risques, mais ne procure nullement une protection absolue vue qu'il n'existe aucun vaccin contre la syphilis.



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